jeudi 28 janvier 2010

Elstir est star à c't'heure !

Elstir me charge, au nom de Swann, Bergotte et lui-même, de saluer tous les aimables blogueurs qui, suivant en ceci le glorieux exemple du premier d'entre eux, ont bien voulu servir au trio de marchepied vers la gloire prochaine. Du fond de sa niche au plafond de verre, Bergotte insiste pour que soit tout particulièrement remerciée Olympe la Guerrière, au nom de je ne sais quelle solidarité féminine inter-espèce : voilà qui est fait.

mercredi 27 janvier 2010

Sans titre


Swann, le mâle dominant de la meute (on ne rit pas), s'éloigne et s'enfonce dans le bois.


Elstir, affolé de se retrouver seul en plein champ, revient vite, vite vers sa chef de meute humaine. Je l'entendais presque crier "Mamaaaaaan, j'ai peur, chui tout seul..."




mardi 26 janvier 2010

À la fin, l'ombre gagne...

C'est tout le problème, avec le vedettariat brutal : presque aussitôt qu'il est connu, la zizanie s'installe dans la meute, les petits veulent bouffer les gros pour prendre leur place, les hiérarchies se brouillent, bref : c'est le socialisme, donc le bordel dans la niche. Face à l'extrême violence des échanges en milieu canin, les humains eux-mêmes se font ombres, avec une prudence que l'on peut comprendre mais qui ne les honore guère. Malgré tout, à la fin de l'émeute, c'est tout de même l'Irremplaçable qui gagne – en sonnant la cloche de la gamelle.

(Note pour les inquiets : si Bergotte n'apparaît pas sur la photo, ce n'est nullement que les deux mâles l'aient massacrée en premier mais parce que, s'étant déjà tapé plus d'une heure d'agility, elle est restée tranquillement à la maison. Au plus près de la gamelle, justement.)

lundi 25 janvier 2010

GUERRE TOTAAALE !

Comme je viens de l'expliquer sur mon blog personnel, La Meute des gâteux occupe la cinquième place du classement “animaux” de Wikio : il y a donc quatre malfaisants à éliminer d'urgence, à malaxer en pâtée du soir, à éparpiller façon sac de croquettes ouvert le bas en haut. L'humiliation est d'autant plus cuisante que les deux premiers du classement sont des blogs consacrés à ces petits nazis à moustaches que sont les chats. Des greffiers devant la Meute : vous mesurez l'outrage ? Ensuite viennent deux boxes à chevaux, ces énormes bestioles dont le seul mérite est d'aller régulièrement à la selle. Je suis sûr que même un garçon aussi placide que Nicolas (et hop ! un lien...) va trouver cette situation intolérable et tout faire pour y remédier, en pesant de toute sa blogopuissance (appel du pied doublé de vile flatterie).

Bref, on les aura, pour peu que ça veuille se mettre à rigoler un brin.

dimanche 24 janvier 2010

Elstir, éminent archéologue (les pattes dans les fouilles)

Dirait-on pas que Monsieur Biche a mis la patte sur un site magdalénien de première grandeur et qu'il s'emploie à en extraire tous les trésors ? Bon, pour les os de mammouth, on l'a un peu aidé, c'est vrai. Mais le tas de branches, c'est lui et rien que lui. On s'attend au pire dès qu'il maîtrisera l'usage du feu – pour la peau de bête, pas de problème : il est né avec. Mais j'en connais un qui ne va pas s'amuser lorsqu'il s'agira de préparer le terrain avant la première tonte de printemps...

mercredi 13 janvier 2010

jeudi 7 janvier 2010

Bergotte récidive !

Elle essaie d'entraîner Elstir dans le bois.






Méfiant, il a compris la leçon d'hier et ne la suit pas !
(Les mâles tirent donc des leçons de leurs erreurs...)


mercredi 6 janvier 2010

Mais quelle salope chienne, cette Bergotte !

Tout à l'heure, profitant de la fine couche de neige tombée cette nuit, Catherine a décidé d'aller promener Bergotte et Elstir. Direction l'approximatif terrain de foot du Plessis, comme souvent. Le dit terrain est adossé à un bois dans lequel, par suite d'accès de connerie humaine virulente, nous n'avons plus le droit d'aller. Nous, non, mais les chiens, eux, s'en foutent : voilà Bergotte partie à fond de train en direction du bois, dans lequel elle disparaît. Avec un léger retard à l'allumage, Elstir part à courir derrière elle. Mais, à peine a-t-il à son tour franchi l'orée, que voici Bergotte reparaissant un peu plus loin, après un rapide arc-de-cercle, et revenant à toute allure vers Catherine.
Tout heureuse, manifestement, d'avoir réussi à semer, voire à perdre définitivement, ce petit emmerdeur qui, depuis deux mois, lui vole plus ou moins la vedette à la maison. De fait, Elstir – encore visible heureusement – s'arrête net et se met à regarder dans toutes les directions, très interloqué et sans doute inquiet de se retrouver brusquement seul, perdu dans un environnement hostile, forcément hostile. Tétanisé, il a fallu que Catherine donne de la voix pour qu'il comprenne que tout n'était pas perdu pour sa pomme.
Du coup, Monsieur Biche est ressorti du bois, tout rasséréné et joyeux de retrouver sa cheftaine de meute. Quant à cette salope chienne de Bergotte, m'est avis qu'elle pourrait bien payer l'entourloupe assez cher, un de ces jours, lorsque le “petit” fera le double de son poids. À moins que, d'ici là, Elstir n'ait compris qu'aux femelles capricieuses et égoïstes, il convient de beaucoup pardonner...